Cela sentait la bierre, le sperme, et le tabac froid
http://mdam-arthur.blogspot.com/
Monday, April 20, 2009
Last Sentence
Avant qu'elle ne monte dans ce moyen de transport métallisé, je voulais juste lui dire que "mes poèmes d'amour" n'était que des déclarations en argent qui peuvent se transformer en or si elle le désire...
2 comments:
Anonymous
said...
Arthur, s'il te plaît, arrête de te lamenter: Fonce. Dans tout ce que tu fais, tu peux exceller.
J’allume ma clope, JPS 100’s Black. Aujourd’hui j’en ai eu marre, genre overdose de vide, celle qui pousse à écouter le silence. Alors je suis parti, j’ai acheté des clopes mais elles sont mal faîtes, le filtre ne tient pas en place. Frustrant. Je la fume dans une station essence, ce n’est pas très moral mais qu’importe. Les pompes sont recouvertes d’un toit en tôle qui fait résonner Back to black d’Amy Winehouse, cela me réconforte. L’heure approche. J’arrive à l’aéroport dans le brouillard d’hiver, je fais la queue pour enregistrer mes bagages. Qui à préparé ma valise ? moi même. Passage à la douane, j’enlève mon badge Ben o’Folk car il est pointu et en fer. J’espère que l’on ne me prendra pas pour un terroriste. J’atteint la porte 31 qui est loin, au loin dans l’aéroport. Des gens contemplent la piste d’atterrissage ou se situe l’avion qui va nous prendre à son bord. Embarquement. Je met ma ceinture, le soleil se lève, je décolle aussi. La bouffe est dégueulasse, je prend un whisky. On the rock ? Yep. L’hôtesse est impressionnée, tellement qu’elle me sert 15cl de scotch avec deux icebergs dedans. Je m’ennuie, pourtant il reste 4 heures. Fuck ! Je compte. J’atterris. Passage à la douane, ou la file d’attente ressemble étrangement à celle que l’on trouve dans toute bonne poste qui se respecte. Je compte. J’y suis. Je récupère ma valise qui par chance est la première à s’avancer sur le tapis roulant. Dernier contrôle et j’avance dans le hall. De part et d’autre des deux rambardes gît une multitude de personne impatiente, tenant dans leurs mains de pauvres papiers miteux avec des noms griffonnés dessus. Le mien n’est nul part, ici mon nom n’est plus, je suis perdu, ne suis plus qu’un illustre inconnu. Alors pourquoi attendre ici ? Que faire ? Qu’importe j’attend. Après être resté assis sur les siéges de tracteurs de la salle d’attente de JFK je suis sorti, bagage en main. J’allume ma clope. Putain de filtre ! Il est 13h, enfaîte je ne sais pas trop, je n’ai pas dormi depuis plus de 80 heures. Quel jour sommes nous ? Qu’importe.
Quelques adresses à visiter, l'accueil y est toujours chaleureux
2 comments:
Arthur, s'il te plaît, arrête de te lamenter: Fonce.
Dans tout ce que tu fais, tu peux exceller.
trêves de balivernes, par pitié!
Post a Comment