Non, ce n’est pas le son de la brume, mais du silence.
La nuit et ses bruits dense.
A l’heure ou flirte les lunes ou lampadaires, ou dansent ensemble souvenirs et lumières.
A découverts, sont tout vos rêves, qu’ils soient de soies, si fragiles et de verres.
Rien ne brûlera plus que la noirceur éclairée, d’une vulgaire voiture, seule, abandonnée, sur les longs flux autoroutiers, ou il est impossible de freiner.
Le frisson d’un vieux swing, n’inquiète plus, même si du réservoir coule l’acide et l’essence du moteur balaye en noyade les poils sales d’un pauvre chat qui pleure.
Les voies s’enfuient à sens unique, la même qui sort des artères de l’autoradio, et gronde sur la piste, avant le décollage, jusqu’au twist final ou pleuvra le whisky trouble en travers des gentes défoncées
No comments:
Post a Comment