Entre les miroirs jaune, je décolle.
Rêveur, assoiffé, mais ivre d’alcool.
Je remémore alors à l’entre deux joues
La douleur infligé par tes coups.
Coups de langues, coups de doigts
Incinère le non-bruit avec toi,
Même si hurle et l’eau tonne
Pendant que brûle à flots les feuilles de l’automne.
Sachant que dans cet acte unique réside la survit.
Le ciel, torrent de feu se renverse
Et s’enfonce dans les cieux comblé d’averse .
Entraîné dans une vague fondante vociféré,
Les flaques de lave éclabousse un fleuve au magma étoilé.
La porte intouchable se referme par une main
L’ouvrier en sueur, coule, et rebrousse chemin.
1 comment:
il est magnifique ce poème arthur!
ton style s'améliore d'année en année, continue comme ça ;)
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